Alphonse allais – Deux et deux font cinq

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Il est l’auteur de nombreux recueils d’écrits fantaisistes. Poète autant qu’humoriste, il cultive la forme de vers dite holorhyme, c’est-à-dire entièrement composée de vers homophoniques, où des vers entiers se prononcent de la même manière. Par exemple: Par les bois du djinn où s’entasse de l’effroi, Parle et bois du gin, ou cent tasses de lait froid. [1] Allais a écrit le premier exemple connu d’une composition musicale complètement silencieuse. Sa marche funèbre pour les obsèques d’un grand sourd de 1897 se compose de vingt-quatre mesures vierges.